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Traitement forcé lors d'une grève de la faim
Selon des informations récentes, la personne antifasciste Maja, qui a été illégalement extradée vers la Hongrie il y a plus d'un an et qui est depuis régulièrement soumise à la torture, a entre-temps été transférée dans un hôpital pénitentiaire en raison de sa grève de la faim.
C'est le 32e jour de sa grève de la faim. Selon des soutiens*, des troubles des mouvements oculaires ont maintenant été observés, de sorte que l'on peut supposer l'entrée dans la "phase oculaire" de la grève de la faim (plus de détails sur les phases de la faim dans notre post du 25 juin). On peut donc supposer que l'on est arrivé à un état où la vie de Maïa est gravement menacée.
Selon des rapports, les médecins de l'hôpital pénitentiaire hongrois ont déclaré qu'ils ne se sentaient pas liés par les directives de Maja, qui excluent explicitement l'alimentation forcée. Nous souhaitons mettre cela en perspective dans les lignes qui suivent:'.
https://demosanitaeter.com/zwangsbehandlung-bei-einem-hungerstreik/
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